L’évanouie

L’évanouie. Encre sur papier

L’évanouie V. Encre et acrylique. Papier marouflé sur toile, 44 x 67 cm, 2018

L’évanouie IV. Encre et acrylique. Papier marouflé sur toile, 44 x 67 cm, 2018

L’évanouie. Encre et acrylique. Papier marouflé sur toile, 44 x 67 cm, 2018

L’évanouie III. Encre sur papier, 31 x 21 cm, 2018

L’évanouie II. Encre sur papier, 24 x 32 cm, 2018

    Jean-Baptiste Angeré, d’après « l’évanouie V » de Myriam Payonne

L’évanouie. Encre sur plâtre.

L’évanouie. Encre sur plâtre, 44 x 29 cm, 2019

L’évanouie. Encre sur plâtre, 21 x 14 cm, 2019

L’évanouie. Encre sur plâtre, 20 x 14 cm, 2019

Le pommier

Encre et collage sur papier marouflé sur toile. 130 x 97 cm. 2020

Encre et collage sur papier marouflé sur toile. 100 x 81 cm, 2020

Encre et collage sur papier marouflé sur toile. 92 x 73 cm. Novembre 2020

Stylo sur papier.

Encre et acrylique blanche sur papier.

L’arbre du Lindin. Poème de Jean-Baptiste Angeré

D’après Pontormo…

Pontormo la visitation

D’après Pontormo

D'après la visitation de Jacobo Pontormo. Cadrage au niveau des mains et de l'accolade.

D’après Pontormo. 2018. Encre sur papier, 28 x 58 cm.

D’après Pontormo. 2018. Encre sur papier, 28 x 58 cm.

D’après Piero Della Fransesca

D’après Piero della Francesca. 2023. Encre sur papier, 25 x 12 cm.

D’après Piero della Francesca. 2023. Encre sur papier, 25 x 12 cm.

D’après Piero della Francesca. 2023. Encre sur papier, 26 x 14 cm.

Marines

Fusains sur papier

Pléneuf-Val-André. Marines. Fusains sur papier. 20 x 14 cm

Marine. Fusain sur papier. 20 x 14 cm

Pléneuf-Val-André. Marines. Fusains sur papier. 15 x 19 cm

Marine. Fusain sur papier. 15 x 19 cm

Pléneuf-Val-André. Marines. Fusains sur papier. 23 x 15 cm

Marine. Fusain sur papier. 15 x 19 cm

Pléneuf-Val-André. Marines. Fusains sur papier. 20 x 10cm

Marine. Fusain sur papier. 15 x 19 cm

Marine. Encre sur papier. 19 x 10 cm

Marine. Encre sur papier. 19 x 10 cm

Marine. Encre sur papier. 19 x 10 cm

Marine. Encre sur papier. 19 x 10 cm

Encres sur papier

Encre sur papier. 24 x 30 cm. 2023

Encre sur papier. 24 x 30 cm. 2023

Encre sur papier, 24 x 30 cm. 2023

Encre sur papier. 24 x 30 cm. 2023

Encre sur papier. 24 x 30 cm. 2023

Samuel

Encre sur papier. 21 x 30 cm. 2022

Encre sur papier. 26 x 36 cm. 2022

Encre sur papier. 25 x 32 cm. 2022

Tournesols

Bouquet de tournesols. Encre sur papier. 15x 20 cm.

Cerises

Encres sur papier. 20 x 20 cm.

Enfants

Couleurs : Myriam Payonne et Jean-Baptiste Angeré

Encre sur papier. 25 x 32 cm. 2022

Encre sur papier. 25 x 32 cm. 2022

Encres sur papier. 25 x 32 cm. 2022


Roue de fer. Isles-sur-la-Sorgue. René Char.

Roue de fer. Isles-sur-la-Sorgue. Encre, 28×30 cm

Paysages

Pins I. Encre sur papier. 43 x 31 cm

Pins II. Encre sur papier. 43 x 31 cm

Le gouffre

Gouffre de Padirac. Encre sur papier. 25 x 32 cm. 2023

Gouffre de Padirac. Encre sur papier. 25 x 32 cm. 2023

Poème de Jean-Baptiste Angeré

Gouffre de Padirac. Encre sur carte postale. 2019

Rocamadour. Gabriel au faucon, 8 ans.

Gabriel au faucon. Encre sur papier. 40 x 30 cm

Gabriel au faucon. Encre sur papier. 40 x 30 cm

Hérodiade

Hérodiade d’après le poème de Stéphane Mallarmé

Hérodiade VI d'après un poème de Stéphane Mallarmé Oui, c’est pour moi, pour moi, que je fleuris, déserte ! Vous le savez, jardins d’améthyste, enfouis Sans fin dans de savants abîmes éblouis, Ors ignorés, gardant votre antique lumière Sous le sombre sommeil d’une terre première, Vous, pierres où mes yeux comme de purs bijoux Empruntent leur clarté mélodieuse, et vous Métaux qui donnez à ma jeune chevelure Une splendeur fatale et sa massive allure ! Quant à toi, femme née en des siècles malins Pour la méchanceté des antres sibyllins,  Qui parles d’un mortel ! selon qui, des calices De mes robes, arôme aux farouches délices, Sortirait le frisson blanc de ma nudité, Prophétise que si le tiède azur d’été, Vers lui nativement la femme se dévoile, Me voit dans ma pudeur grelottante d’étoile, Je meurs !
Hérodiade I. Pastel et collage. 12 x 15 cm.
Hérodiade VI d'après un poème de Stéphane Mallarmé Oui, c’est pour moi, pour moi, que je fleuris, déserte ! Vous le savez, jardins d’améthyste, enfouis Sans fin dans de savants abîmes éblouis, Ors ignorés, gardant votre antique lumière Sous le sombre sommeil d’une terre première, Vous, pierres où mes yeux comme de purs bijoux Empruntent leur clarté mélodieuse, et vous Métaux qui donnez à ma jeune chevelure Une splendeur fatale et sa massive allure ! Quant à toi, femme née en des siècles malins Pour la méchanceté des antres sibyllins,  Qui parles d’un mortel ! selon qui, des calices De mes robes, arôme aux farouches délices, Sortirait le frisson blanc de ma nudité, Prophétise que si le tiède azur d’été, Vers lui nativement la femme se dévoile, Me voit dans ma pudeur grelottante d’étoile, Je meurs !
Hérodiade II. Pastel et collage. 12 x 14 cm.
Hérodiade VI d'après un poème de Stéphane Mallarmé Oui, c’est pour moi, pour moi, que je fleuris, déserte ! Vous le savez, jardins d’améthyste, enfouis Sans fin dans de savants abîmes éblouis, Ors ignorés, gardant votre antique lumière Sous le sombre sommeil d’une terre première, Vous, pierres où mes yeux comme de purs bijoux Empruntent leur clarté mélodieuse, et vous Métaux qui donnez à ma jeune chevelure Une splendeur fatale et sa massive allure ! Quant à toi, femme née en des siècles malins Pour la méchanceté des antres sibyllins,  Qui parles d’un mortel ! selon qui, des calices De mes robes, arôme aux farouches délices, Sortirait le frisson blanc de ma nudité, Prophétise que si le tiède azur d’été, Vers lui nativement la femme se dévoile, Me voit dans ma pudeur grelottante d’étoile, Je meurs !
Hérodiade III. Pastel et collage. 13 x 14 cm.
Hérodiade VI d'après un poème de Stéphane Mallarmé Oui, c’est pour moi, pour moi, que je fleuris, déserte ! Vous le savez, jardins d’améthyste, enfouis Sans fin dans de savants abîmes éblouis, Ors ignorés, gardant votre antique lumière Sous le sombre sommeil d’une terre première, Vous, pierres où mes yeux comme de purs bijoux Empruntent leur clarté mélodieuse, et vous Métaux qui donnez à ma jeune chevelure Une splendeur fatale et sa massive allure ! Quant à toi, femme née en des siècles malins Pour la méchanceté des antres sibyllins,  Qui parles d’un mortel ! selon qui, des calices De mes robes, arôme aux farouches délices, Sortirait le frisson blanc de ma nudité, Prophétise que si le tiède azur d’été, Vers lui nativement la femme se dévoile, Me voit dans ma pudeur grelottante d’étoile, Je meurs !
Hérodiade IV. Pastel et collage. 13 x 16 cm.
Hérodiade VI d'après un poème de Stéphane Mallarmé Oui, c’est pour moi, pour moi, que je fleuris, déserte ! Vous le savez, jardins d’améthyste, enfouis Sans fin dans de savants abîmes éblouis, Ors ignorés, gardant votre antique lumière Sous le sombre sommeil d’une terre première, Vous, pierres où mes yeux comme de purs bijoux Empruntent leur clarté mélodieuse, et vous Métaux qui donnez à ma jeune chevelure Une splendeur fatale et sa massive allure ! Quant à toi, femme née en des siècles malins Pour la méchanceté des antres sibyllins,  Qui parles d’un mortel ! selon qui, des calices De mes robes, arôme aux farouches délices, Sortirait le frisson blanc de ma nudité, Prophétise que si le tiède azur d’été, Vers lui nativement la femme se dévoile, Me voit dans ma pudeur grelottante d’étoile, Je meurs !
Hérodiade V. Pastel et collage. 13 x 16 cm.
Hérodiade VI d'après un poème de Stéphane Mallarmé Oui, c’est pour moi, pour moi, que je fleuris, déserte ! Vous le savez, jardins d’améthyste, enfouis Sans fin dans de savants abîmes éblouis, Ors ignorés, gardant votre antique lumière Sous le sombre sommeil d’une terre première, Vous, pierres où mes yeux comme de purs bijoux Empruntent leur clarté mélodieuse, et vous Métaux qui donnez à ma jeune chevelure Une splendeur fatale et sa massive allure ! Quant à toi, femme née en des siècles malins Pour la méchanceté des antres sibyllins,  Qui parles d’un mortel ! selon qui, des calices De mes robes, arôme aux farouches délices, Sortirait le frisson blanc de ma nudité, Prophétise que si le tiède azur d’été, Vers lui nativement la femme se dévoile, Me voit dans ma pudeur grelottante d’étoile, Je meurs !
Hérodiade VI. Pastel et collage. 13 x 16 cm.

Suite Hérodiade. Stylo et encre sur papier.

Illustrations de poèmes

In memoriam Georg Trakl

In memoriam Georg Trakl, 2018. Enluminure. Encre et gouache, 21×30 cm


La chambre de fortune II de Jean Baptiste Angeré


Mario Luzi

Illustration d’un poème extrait de Prémices du désert de Mario Luzi.

Enluminure du poème extrait de Prémices du désert. Encre et Gouache. 2018. 21×30 cm.


Pouchkine

Illustration pour le poème Indices 1829. Pouchkine.

Enluminure du poème Indices 1829. Pouchkine. Encres et gouache. 2018, 21×30 cm


Nadine Cail

Nadine Cail. Illustration d’un poème extrait du recueil : La nuit quitte ses racines.

À ceux qui longent les ruisseaux
Croyant qu’ils mènent au jardin natal
Ou toi qu’émeut la source
Je dis l’herbe pieds nus Patience de la plaine
L’aile ouverte

                            Nadine Cail. Poème extrait du recueil : La nuit quitte ses racines.


Eschyle

Illustration d’un vers du Prométhée d’Eschyle.

Enluminure d’un vers du Prométhée d’Eschyle. Encres et gouache. 2018, 21×30 cm.


Henri Thomas

Illustration d’un poème extrait des Maisons brulées. Henri Thomas.

Enluminure d’un poème extrait des Maisons brulées. Henri Thomas.
Encre. 2018. 21×30 cm.


Anthologie palatine.

Anthologie palatine. Traduit du grec par Jacques Lacarrière.

Enluminure. Encre et gouache. 2018, 21×30 cm


Ingeborg Bachmann

 Ingeborg Bachmann. Illustration du début du poème Énigme. Traduction de François Rétif.

Enluminure du poème Énigme d’Ingeborg Bachmann.
Collage  Payonne-Angeré


René Char

Illustration d’un poème extrait du recueil éloge d’une soupçonnée de René Char.

Enluminure d’un poème extrait du recueil éloge d’une soupçonnée de René Char. Encres et gouache. 2018, 21×30 cm

Feuillets d’Hypnos. Fragment 88. Tentatives d’illustrations.

  • Illustration des feuillets d’Hypnos de René Char. Gouache sur papier
  • Illustration des feuillets d’Hypnos de René Char. Gouache sur toile.
  • Illustration des feuillets d’Hypnos de René Char. Gouache sur papier. Gouache.
  • Illustration des feuillets d’Hypnos de René Char. Gouache sur papier
  • Illustration des feuillets d’Hypnos de René Char. Gouache sur papier
  • Illustration des feuillets d’Hypnos de René Char. Gouache sur papier

Comment m’entendez-vous ? Je parle de si loin…   René Char

Hérodiade. Mallarmé

Illustrations de poèmes.

Divers

Venise

Hommage à James Turrell. Réalisation : Gabriel Morand et Jean-Baptiste Angeré. 2020.