Gravures

Portrait de jean-baptiste angeré.

Eau forte et aquatinte sur cuivre imprimé par l’artiste. Encre Charbonnel sur BFK Rives. 150 x 100 mm. Le tirage en noir et blanc comprend : Une épreuve d’état, une épreuve d’artiste et cinq épreuves signées numérotées de 1/5 à 5/5 Le tirage en couleur comprend trois épreuves signées.

Le Lindin

Eau forte et aquatinte sur cuivre imprimé par l’artiste. Encre Charbonnel sur BFK Rives. 150 x 100 mm. Le tirage en noir et blanc comprend : Une épreuve d’état, une épreuve d’artiste et cinq épreuves signées numérotées de 1/5 à 5/5 Le tirage en couleur comprend trois épreuves signées.

Cyprès à Pornic

Cyprès de Lambert à Pornic. Eau forte et aquatinte sur cuivre imprimé par l’artiste. Encre Charbonnel sur BFK Rives. 200 x 150 mm. Le tirage en noir et blanc comprend : Une épreuve d’état signée, une épreuve d’artiste signée et six épreuves signées numérotées de 1/6 à 5/6.

Faucon crécerelle

Eau forte et aquatinte sur cuivre imprimé par l’artiste. Encre Charbonnel sur BFK Rives. 200 x 150mm. Tirage unique. 2023

Bord de mer

Eau forte et aquatinte sur cuivre imprimé par l’artiste. Encre Charbonnel sur BFK Rives. 250 x 210 mm. Le tirage en noir et blanc comprend : Une épreuve d’état signée, une épreuve d’artiste signée et six épreuves signées numérotées de 1/7 à 5/7.

Melancolia

Eau forte et aquatinte sur cuivre imprimé par l’artiste. Encre Charbonnel sur BFK Rives. 200 x 150 mm. Le tirage en noir et blanc comprend deux épreuves signées numérotées de 1/2 à 2/2. Le tirage en couleur comprend trois épreuves signées.

La leçon de musique

Eaux fortes et aquatinte sur cuivre imprimé par l’artiste. Encre Charbonnel sur BFK Rives. Deux exemplaires.

Eau forte et aquatinte sur cuivre imprimé par l’artiste. Encre Charbonnel sur BFK Rives.

Portrait de Gabriel au fauteuil

Eau forte et aquatinte sur cuivre imprimé par l’artiste. Encre Charbonnel sur BFK Rives.

Autoportraits

Une chambre de fortune I

62 poèmes. 42 poèmes enluminés.

Illustrations de poèmes. Une chambre de fortune II

Gravures

Hérodiade

Hérodiade d’après le poème de Stéphane Mallarmé

Hérodiade VI d'après un poème de Stéphane Mallarmé Oui, c’est pour moi, pour moi, que je fleuris, déserte ! Vous le savez, jardins d’améthyste, enfouis Sans fin dans de savants abîmes éblouis, Ors ignorés, gardant votre antique lumière Sous le sombre sommeil d’une terre première, Vous, pierres où mes yeux comme de purs bijoux Empruntent leur clarté mélodieuse, et vous Métaux qui donnez à ma jeune chevelure Une splendeur fatale et sa massive allure ! Quant à toi, femme née en des siècles malins Pour la méchanceté des antres sibyllins,  Qui parles d’un mortel ! selon qui, des calices De mes robes, arôme aux farouches délices, Sortirait le frisson blanc de ma nudité, Prophétise que si le tiède azur d’été, Vers lui nativement la femme se dévoile, Me voit dans ma pudeur grelottante d’étoile, Je meurs !
Hérodiade I. Pastel et collage. 12 x 15 cm.
Hérodiade VI d'après un poème de Stéphane Mallarmé Oui, c’est pour moi, pour moi, que je fleuris, déserte ! Vous le savez, jardins d’améthyste, enfouis Sans fin dans de savants abîmes éblouis, Ors ignorés, gardant votre antique lumière Sous le sombre sommeil d’une terre première, Vous, pierres où mes yeux comme de purs bijoux Empruntent leur clarté mélodieuse, et vous Métaux qui donnez à ma jeune chevelure Une splendeur fatale et sa massive allure ! Quant à toi, femme née en des siècles malins Pour la méchanceté des antres sibyllins,  Qui parles d’un mortel ! selon qui, des calices De mes robes, arôme aux farouches délices, Sortirait le frisson blanc de ma nudité, Prophétise que si le tiède azur d’été, Vers lui nativement la femme se dévoile, Me voit dans ma pudeur grelottante d’étoile, Je meurs !
Hérodiade II. Pastel et collage. 12 x 14 cm.
Hérodiade VI d'après un poème de Stéphane Mallarmé Oui, c’est pour moi, pour moi, que je fleuris, déserte ! Vous le savez, jardins d’améthyste, enfouis Sans fin dans de savants abîmes éblouis, Ors ignorés, gardant votre antique lumière Sous le sombre sommeil d’une terre première, Vous, pierres où mes yeux comme de purs bijoux Empruntent leur clarté mélodieuse, et vous Métaux qui donnez à ma jeune chevelure Une splendeur fatale et sa massive allure ! Quant à toi, femme née en des siècles malins Pour la méchanceté des antres sibyllins,  Qui parles d’un mortel ! selon qui, des calices De mes robes, arôme aux farouches délices, Sortirait le frisson blanc de ma nudité, Prophétise que si le tiède azur d’été, Vers lui nativement la femme se dévoile, Me voit dans ma pudeur grelottante d’étoile, Je meurs !
Hérodiade III. Pastel et collage. 13 x 14 cm.
Hérodiade VI d'après un poème de Stéphane Mallarmé Oui, c’est pour moi, pour moi, que je fleuris, déserte ! Vous le savez, jardins d’améthyste, enfouis Sans fin dans de savants abîmes éblouis, Ors ignorés, gardant votre antique lumière Sous le sombre sommeil d’une terre première, Vous, pierres où mes yeux comme de purs bijoux Empruntent leur clarté mélodieuse, et vous Métaux qui donnez à ma jeune chevelure Une splendeur fatale et sa massive allure ! Quant à toi, femme née en des siècles malins Pour la méchanceté des antres sibyllins,  Qui parles d’un mortel ! selon qui, des calices De mes robes, arôme aux farouches délices, Sortirait le frisson blanc de ma nudité, Prophétise que si le tiède azur d’été, Vers lui nativement la femme se dévoile, Me voit dans ma pudeur grelottante d’étoile, Je meurs !
Hérodiade IV. Pastel et collage. 13 x 16 cm.
Hérodiade VI d'après un poème de Stéphane Mallarmé Oui, c’est pour moi, pour moi, que je fleuris, déserte ! Vous le savez, jardins d’améthyste, enfouis Sans fin dans de savants abîmes éblouis, Ors ignorés, gardant votre antique lumière Sous le sombre sommeil d’une terre première, Vous, pierres où mes yeux comme de purs bijoux Empruntent leur clarté mélodieuse, et vous Métaux qui donnez à ma jeune chevelure Une splendeur fatale et sa massive allure ! Quant à toi, femme née en des siècles malins Pour la méchanceté des antres sibyllins,  Qui parles d’un mortel ! selon qui, des calices De mes robes, arôme aux farouches délices, Sortirait le frisson blanc de ma nudité, Prophétise que si le tiède azur d’été, Vers lui nativement la femme se dévoile, Me voit dans ma pudeur grelottante d’étoile, Je meurs !
Hérodiade V. Pastel et collage. 13 x 16 cm.
Hérodiade VI d'après un poème de Stéphane Mallarmé Oui, c’est pour moi, pour moi, que je fleuris, déserte ! Vous le savez, jardins d’améthyste, enfouis Sans fin dans de savants abîmes éblouis, Ors ignorés, gardant votre antique lumière Sous le sombre sommeil d’une terre première, Vous, pierres où mes yeux comme de purs bijoux Empruntent leur clarté mélodieuse, et vous Métaux qui donnez à ma jeune chevelure Une splendeur fatale et sa massive allure ! Quant à toi, femme née en des siècles malins Pour la méchanceté des antres sibyllins,  Qui parles d’un mortel ! selon qui, des calices De mes robes, arôme aux farouches délices, Sortirait le frisson blanc de ma nudité, Prophétise que si le tiède azur d’été, Vers lui nativement la femme se dévoile, Me voit dans ma pudeur grelottante d’étoile, Je meurs !
Hérodiade VI. Pastel et collage. 13 x 16 cm.

Suite Hérodiade. Stylo et encre sur papier.

Illustrations de poèmes

In memoriam Georg Trakl

In memoriam Georg Trakl, 2018. Enluminure. Encre et gouache, 21×30 cm


La chambre de fortune II de Jean Baptiste Angeré


Mario Luzi

Illustration d’un poème extrait de Prémices du désert de Mario Luzi.

Enluminure du poème extrait de Prémices du désert. Encre et Gouache. 2018. 21×30 cm.


Pouchkine

Illustration pour le poème Indices 1829. Pouchkine.

Enluminure du poème Indices 1829. Pouchkine. Encres et gouache. 2018, 21×30 cm


Nadine Cail

Nadine Cail. Illustration d’un poème extrait du recueil : La nuit quitte ses racines.

À ceux qui longent les ruisseaux
Croyant qu’ils mènent au jardin natal
Ou toi qu’émeut la source
Je dis l’herbe pieds nus Patience de la plaine
L’aile ouverte

                            Nadine Cail. Poème extrait du recueil : La nuit quitte ses racines.


Eschyle

Illustration d’un vers du Prométhée d’Eschyle.

Enluminure d’un vers du Prométhée d’Eschyle. Encres et gouache. 2018, 21×30 cm.


Henri Thomas

Illustration d’un poème extrait des Maisons brulées. Henri Thomas.

Enluminure d’un poème extrait des Maisons brulées. Henri Thomas.
Encre. 2018. 21×30 cm.


Anthologie palatine.

Anthologie palatine. Traduit du grec par Jacques Lacarrière.

Enluminure. Encre et gouache. 2018, 21×30 cm


Ingeborg Bachmann

 Ingeborg Bachmann. Illustration du début du poème Énigme. Traduction de François Rétif.

Enluminure du poème Énigme d’Ingeborg Bachmann.
Collage  Payonne-Angeré


René Char

Illustration d’un poème extrait du recueil éloge d’une soupçonnée de René Char.

Enluminure d’un poème extrait du recueil éloge d’une soupçonnée de René Char. Encres et gouache. 2018, 21×30 cm

Feuillets d’Hypnos. Fragment 88. Tentatives d’illustrations.

  • Illustration des feuillets d’Hypnos de René Char. Gouache sur papier
  • Illustration des feuillets d’Hypnos de René Char. Gouache sur toile.
  • Illustration des feuillets d’Hypnos de René Char. Gouache sur papier. Gouache.
  • Illustration des feuillets d’Hypnos de René Char. Gouache sur papier
  • Illustration des feuillets d’Hypnos de René Char. Gouache sur papier
  • Illustration des feuillets d’Hypnos de René Char. Gouache sur papier

Comment m’entendez-vous ? Je parle de si loin…   René Char

Hérodiade. Mallarmé

Illustrations de poèmes.